Vendredi 7 octobre. Journée spéciale à Kyoto. C'est notre dernière journée de visite. C'est vers le secteur de la forêt de bambous de Arishiyama que nous nous dirigeons. A proximité la rivière Oi et le pont de Togetsukyo. Ce sont les deux principaux attraits avec de nombreux sanctuaires qui attirent les touristes japonais et etrangers dans le secteur. Ici les japonais sont nombreux à louer des kimonos colorés pour visiter le site. La location d'un kimono pour la journée se fait pour 4 000 à 8 000 yens auquel s' ajoute les extras pour la coiffure. En dollars Canadien il faut compter entre 80$ à 160$ pour parader affublée ainsi. J'imagine un japonais se promenant dans le vieux Québec avec sa veste à carreaux et un casque à la Davie Crocket et je rigole quand je vois un groupe d'une dizaine d'occidentaux qui se pavent affublés de ce vetement typiquement japonais. Il y en a même un qui a ajouté un sabre de shogun à son attirail, ça aurait bien pu être un mousquet à poudre noir!
Les japonais, eux, portent vraiment ces vêtements lors de grande occasions et des festivités, laissons leur leur tradition.
La bambouseraie d'Arishiyama promet une promenade calme au travers la plantation. Il faut problament venir tôt le matin pour profiter du calme des lieux car à l'heure ou nous y passons il a foule.
Dans le secteur des boutiques interessantes où l'on trouve des sandales traditionnelles qui ferront assurement la joie des deux filles.
Une alléchante cuisine de rue est offerte. La pieuvre est en vedette. Je deguste dans un premier temps une savoureuse brochette de pieuvre frite. Encouragė par cette premiere decouverte nous arretons dans un petit boui boui où je commande des delicieuses petites boulettes de pieuvres cuite sur une plaque moulée et habillement retournées à l'aide de baquettes par le chef. C'est un spectacle en soi. Heureusement ils servent aussi des nouilles frites qu'ils disent végétarienne parce qu'il n'y a pas de poissons, juste du bacon. C'est delicieux aussi mais très glucidiques.
Retour plus tôt å l'appartement pour preparer les bagages pour le depart demain. Encore une fois nous experimenterons la pratique de laisser la plus grande partie de nos bagages en consigne dans un casier à la gare pour voyager leger leger vers notre prochaine destination d'une nuit, Nara.
Pour la fěte à Pauline les quelques appels reçus et une soirée tranquille avec un bon verre de sake nous comble.
P.s. la veste courte que Pauline s' est acheté hier s' appele un Haori.
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