Jeudi 6 octobre. Il est passé 22 heures lorsque nous revenons de notre journée de visite à Osaka. Osaka est à 30 minutes en train de Kyoto. Avec ses 2,6 millions d'habitants c'est le troisième plus grande ville du japon apres Tokyo et Yokohama. La visite de cette ville est souvent ignorée par les gens qui font un circuit. Cette ville est souvent considerée comme etant sale comparativement à sa voisine Kyoto, la propre et agreable ville au charme campagnard.
La gare de train de Osaka, même si elle n'est pas aussi grande que celle de Kyoto, n'en demeure pas moins très belle. Je dirais même exceptionnelle. Nous debutons notre découverte de Osaka par le Umeda Sky Building. Un batiment faisant partie du club select des vingt plus spectaculaire batiment de la planète. Ses deux tours jumelles sont reliées à leur sommet par une plateforme circulaire toute à fait impressionnante. La vue sur la ville, ses nombreuses grandes batisses å l'architecture plus folle les unes que les autres, se revęle å notre regard. "Remplir mes yeux de jamais vue" chante Paul Daraiche dans je pars à l'autre beau du monde. Et comme la terre est ronde nous décidons donc de revenir chercher Ghislain en partageant un peu de cette vue panoramique sur Osaka en le rejoignant sur skype. Il a eu le temps de se joindre à nous brievement.
Nous remettons les pieds sur terre, meme sous terre car c'est au sous-sol de l'immense complexe que nous allons prendre notre repas du midi.
Puis direction Dontobori, un quartier commercial de la ville où une rue de 2,6 kilometres de long sous le couvert d'une arcade. Mais c'est encore bien plus que ces seules kilomètres que nous parcourons dans ce secteur totalement fou. C'est Time Square en dix å vingt fois plus gros, plus eclatant, plus eclaté. Les facades de nombreux restaurants sont surmontées d'immenses represantation de ce qu'est leur menu principal. Ici un immense crabe aux pattes qui bougent, lå un sushi geant, un boeuf, une palourde, des poissons Fugu ( ceux qui peuvent etre mortel si mal apprêté). La rue semble sans fin. À presque chaque restaurant un comptoir de mets cuisinés sur le bord de la rue. Les files sont longues pour deguster les spécialités offertes. Dans les vitrines des reproductions fidèles en resine peinte des plats offerts au menu. J'avais emis un commentaire négatif sur la vraisemblance de ces reproductions. Je dois faire amende honorable car ici les reproductions sont d'un réalisme saisissant.
Il y a aussi d'autres types de commerces que des restaurants. Des salles de jeux, des boutiques de babioles, des beaux magasins de větements, etc. La foule augmente avec la venu de la fin de la journée. D'ailleurs il est recommandé de visiter l'endroit durant la semaine car le week end c'est trop achalendé. Arret dans un magasin de tissus sur trois etages. Les designs et les textures des tissus proposés sont spécifiquement japonais. Nous achetons quelques coupons de 2 mětres qui serviront bien à confectionner des surprises.
Les lumieres s' allument, les surfaces libres des edifices deviennent des écrans lumineux animės geants. Le bruit de fond de la foule, l'agitation correcte des gens rendent encore plus fou l'endroit.
C'est la premiere fois du voyage que j'épuisse la batterie de ma camera avant la fin devla journée. Heureusement Marc m'a prêté une pile de releve.
C'est dans le calme d'un sixième etage d'une batisse du secteur que nous prenons notre repas du soir. Agreable detente bien mérité.
Nous sommes totalement comblés par cette journée de découverte. C'est ce genre de sensation que j'apprécie le plus en voyage. Quand tu decouvres un lieux, un atmosphère, qui te surprend et qu'å chaque pas que tu ajoutes te surprends encore plus.
Il est maintenant temps de quitter cet univers éclaté qui nous a fait vibrer. Il faut traverser de longs passages souterrains garnis de part et d'autre d'encore d'innombrables boutiques. Un magasin spécialisé dans la vente de kimonos et yukatas attirent notre attention. Une jolie blouse/veston court à manche flottante retient l'attention avec sa coupe et son tissus résolument japonais. Il fait si bien à Pauline que nous le rapportons avec nous.
Il est maintenant passé minuit ici à Kyoto et nous sommes le 7. Je souhaites bonne fête à Pauline alors que chez vous il n'est que onze heure du matin le 6.
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